• Behigorri

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    Behigorri 2 à téléchargerSommaire

    Les lézardes de feu de Ana Minski

    La théorie de la fiction-panier de Ursula K. Le Guin

    Portrait : Françoise d'Eaubonne

    Deux poèmes de Colette Daviles-Estinès

    #JeSuisPangoline de Laura Outan

    Leçon de sauvagerie de SâVge

    Portrait : Julia Hill Butterfly

    Civilisation et biogynophobie de Ana Minski

    Variations de la ville Miroslava Rosales

    Vous avez dit satire ! Cathy Garcia Canalès

    Damnation de Ana Minski (contenu sensible)

               

                                #CAPP  Collectif abolition porno prostitution

                               Portrait : Andrea Dworkin

              "Écoutez les concernées !" par Daria Khovanka (contenu sensible)

    Dans ma cabane, je suis de Nina Terrpl

     

     

     


  • Appel à textes pour le numéro 2 de la revue : articles d'écoféminisme radicale, poésie, fiction, écrits par des femmes.

    20 000 signes maximum à envoyer à l'adresse suivante : lesruminant-e-s[at]protonmail.com

    date limite : le 31 juillet 2020.

     

    Pourquoi Behigorri ? Behigorri, « vache rouge », est l’esprit qui protège les grottes où nos ancêtres du Paléolithique peignirent bovins et équins. Apparentée à Betizu, la vache sauvage qui vit encore aujourd’hui dans les montagnes basques, elle est une Ihizi, animal chassé à la Préhistoire et dont les représentations individualisées témoignent d’une cosmologie animiste, du mélange d’émerveillement et de crainte que ces compagnons nous inspiraient. Renouer avec cet inquiétant émerveillement, avec ce monde d’avant le dualisme, l’esprit militaire, l’hégémonie et le contrôle, est un des espoirs de la revue. Pour y parvenir, ou du moins essayer, une critique radicale de la société s’impose, une critique écologique, biocentrée et féministe. Cette critique radicale s’attaque à un imaginaire dominé par une folle rationalisation qui réduit le langage à un discours binaire. Pourtant, quoiqu’en pensent certains, sentiments et rêves sont plus que jamais les ombres portées qui structurent notre culture. C’est pourquoi poésie, contes, nouvelles sont intégrées à cette critique radicale de la société. Les relations qui se tissent dans la contemplation, l’émerveillement et la crainte ne peuvent s’épanouir que si elles s’expriment dans le langage qui leur est propre. Ouvrir notre corps à un nouvel imaginaire c’est accepter un langage trop souvent méprisé par ceux qui rêvent l’homme-machine, l’homme-conquérant, l’homme-immortel.

    Behigorri est une revue numérique en téléchargement gratuit sur le site lesruminants.org mais qui peut aussi être imprimée et cousue artisanalement sur commande. Elle ne possède aucun ISSN et son prix est celui de l’impression, du papier et de l’envoi, il dépend donc du nombre de pages et des illustrations couleurs. Son rythme de parution est irrégulier.

    Behigorri renoue avec tous les peuples et humains actuels dont les rêves, visions, légendes réinventent la complexité foisonnante de notre passé animiste.


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    Behigorri n°1   Sommaire :

    La buveuse d'ombres de Ana Minski
    La Nature, c'est celle qui lutte de Seb d'Armisan
    Les naturiens, précurseurs d'une critique de la civilisation de Nicolas
    Casaux
    À propos de la suppression de notre vagilité de Frank Forencich
    Les jeunes filles et les herbacées de Lierre Keith
    L'enfer du développement durable de Ana Minski
    Confusion renouvelable et transition imaginaire de Nicolas Casaux
    Le rêve est une langue sauvage de Ana Minski
    Le cauchemar des zoos de Derrick Jensen

     





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